Témoignages de Marc
Avec son aimable autorisation. Voici les témoignages exceptionnels de Marc, qui a été en contact avec plusieurs civilisations extraterrestres au cours de sa vie. Dont Oummain (Ummite), Dookaïen, Lyrien chat, Lyrien oiseau et d'autres non identifiées. Les récits sont extraits de son forum Alliance Galactique (d'origine).
Souvenirs conscients.
1) Ethiopie, Tadjourah, à coté de Djibouti, le récit détaillé est dans le sujet témoignages (AC- Page 865 du forum)
Témoignage de mon premier fait concret inexplicable.
J'avais trois, quatre ou cinq ans, papa militaire et nous habitions à Tadjourah, proche de Djibouti, dans une maison située à une cinquantaine de mètres du bord de mer. Une fin d'après midi je suis allé contempler le paysage et le soleil couchant depuis un dénivelé de sable avec la plage en contrebas. Ma vue était exactement celle de la photo ci-dessous, j'étais sur la plage que l'on distingue un peu à droite sur la deuxième photo, trouvées sur le net.
En regardant la forme pyramidale de l'île située en face, je me suis dit que cette forme parfaite était peut-être artificielle et avait peut-être une origine... j'ai cherché le mot quelques secondes, avant ce qu'il me semble m'avoir été soufflé de façon télépathique, le mot extraterrestre. Je suis quasiment certain de ne l'avoir jamais entendu auparavant et me rappelle avoir regardé autour de moi, en me demandant comment ce mot m'était venu, avec l'étrange sensation d'une présence que je ne voyais pas.
Mon regard s'est reporté sur le soleil couchant et il m'a bien semblé voir pendant un instant comme un faisceau noir venant toucher un rocher situé juste au bord du rivage. Le temps de me demander si j'avais bien vu cela, un reflet argenté très brillant, métallique, venant de ce rocher attira mon attention. Je décidais de descendre voir cela de plus près, après quelques hésitations car ma mère m'avait souvent dit de ne pas aller seul sur la plage, située quelques mètres en contrebas et où je n'aurais plus la maison dans mon champ de vision. Mais l'étrangeté et la curiosité l'emporta. Arrivé devant ce rocher je vis une croix fixée longitudinalement, paraissant en métal comme de l'aluminium poli, environ quarante centimètres de long sur quinze de large pour les petites branches, verticales.
C'était comme une petite épée avec un rebord central en croix aussi et des faces planes qui allaient à des bords paraissant tranchants. J'ai crains de me couper en l'empoignant et pendant que j'hésitais, un promeneur, européen, qui longeait la plage en haut du dénivelé, est descendu à ma rencontre, m'a demandé ce que je faisais là tout seul, lui ai dit que j'habitais la maison à coté et il m'a tendu la main pour me raccompagner au domicile familial. J'ai tendu le bras pour lui montrer ma découverte, en me disant qu'il arriverai a la séparer du rocher sans se couper et me la donnerai. Ce qu'il a fait, dans un bruit métallique quand il l'a séparée du rocher et qui témoignait que c'était bien solidaire de la roche. J'ai vu son regard d'étonnement vers l'horizon et il s'est surement demandé aussi comment cette chose bien visible pouvait se trouver là, sans avoir été prise par les nombreux africains qui passaient devant ce rocher à quelques mètres du bord de l'eau.
Il faut savoir qu'en Afrique, même une boite en fer blanc pas rutilante comme cet objet, est promptement ramassée et trouve toujours un usage quelconque. J'ai tendu la main pour qu'il me donne mon bien, mais il l'a mis dans un sac en toile qu'il portait en bandoulière, j'ai pensé que c'était peut-être tranchant et qu'il me le donnerai après m'avoir raccompagné à la maison.
Au domicile il a un peu discuté avec ma mère, je me suis dit qu'il lui donnerai ma découverte et s'en irait, et qu'ensuite j'expliquerai ce rayon noir et que des extraterrestres m'avaient fait un joli cadeau.
Je me suis laissé distraire par une chienne que nous avions dans la maison et qui venait d'avoir ses petits. Après quelque instants je me suis retourné et constaté que mon raccompagnant n'était plus là. J'ai regardé s'il avait déposé ma découverte sur la table, non, pas dans les mains de ma mère non plus, me suis précipité à la porte pour voir qu'il était déjà à une soixantaine de mètres et séloignait rapidement. Je l'ai appelé dans un grand "heeeyyy !!" Il a tourné la tête tout en continuant de s'éloigner a grands pas, ma mère m'a demandée "mais qu'es-ce que tu as", je me rappelle que je ne savais pas bien parler et de voir ce monsieur s'enfuyant avec ce qui m'appartenait m'a en tous cas laissé sans voix. C'était la première fois que je constatais qu'une personne pouvait être malhonnête. Sur le moment, je n'ai rien expliqué a ma mère de tout cela et lui en ai fait part plus de cinquante ans après, quelques années après 2004.
Mon sentiment est qu'il s'est vraiment passé quelque chose d'extraordinaire cette fois là, la première concrète.
Je reste intimement persuadé que ce rayon noir a fait exsuder en quelques instants de cette roche, une sorte de concrétion minérale cristalline très rare qui nécessite des milliers d'années pour se former, d'après mes recherches en gemmologie sur le net, mais pas trouvé de photos qui correspondraient même approximativement à ce que j'ai vu.
Et ce qui est absolument certain, c'est que cet objet en forme de croix était parfaitement visible et très brillant, il n'aurait pût rester là plus d'une demi-heure sans être accaparé par un passant, très longtemps avant les dimensions qu'il avait.
2) Région Toulousaine, j'avais 7ou 8 ans, un après midi alors que je jouais avec deux "copains" bien plus âgés qui m'incitaient a passer le plus vite possible dans un endroit dangereux (compris plus tard qu'ils se réjouissaient à l'avance d'une chute probable), bref, j'étais en déséquilibre et sur le point de tomber de 3 ou 4 mètres, un bonhomme s'est matérialisé à ma hauteur, sur rien, m'a retenu par le bras gauche et m'a dit "allez, va maintenant et fait attention", lui ai dit merci Monsieur, arrivé en bas j'ai dit tout excité "il y a quelqu'un là haut", peut être ne regardaient-ils pas à ce moment mais n'ont vu personne, ne suis plus revenu jouer à cet endroit dangereux malgré d'autres incitations de leurs part.
3) J'avais 16 ans, accident de mobylette, rotule cassée, hospitalisé à Toulouse, 2 ou 3 jours après l'opération, 10/11 H du soir , je ne dormais pas, 3 ou 4 docteurs, blouses blanches, entrent dans la chambre, heure tardive étonnante, n'allument pas la lumière, pas logique du tout. Semi pénombre mais assez bonne visibilité due à un éclairage extérieur, paroles sympa d'usage et regardent un peu ma jambe plâtrée, l'un d'eux à ma gauche en retrait de mon champs de vision, me touche les cheveux, m'éclaire 3/4 secondes depuis l'arrière avec sais pas quoi mais pas gros puisqu'ils n'avaient rien dans les mains en entrant, lumière bleu intense comme jamais vue, que je définirais maintenant comme une lumière laser à large champ (même les petits laser n'existaient pas à cette époque), j'ai pensé à un anti-bactéricide général, il me demande si ça va, je répond oui, s'en vont, impression que 2 ou 3 disparaissent au niveau de la porte plus qu'ils ne sortent. Eventuelle notion d'abduction exclue, pour des raisons dont j'informerai un jour.
4) 1975, Toulouse, 2 ou 3 jours avant la date prévue pour laisser mon emploi dans une grosse entreprise, un collègue de travail me dit que Mr X me demande dans son bureau, il me précise d'un air un peu étonné que ce monsieur ne parle pas avec tout le monde. Sur place ce monsieur me demande pourquoi je pars et ce que je compte faire, je ne le savais pas trop, il n'insiste pas, avons discutés 5 mn sais plus de quoi, me dit entre autre que je devais rester attentif à ce qui pourrait se passer sortant de l'ordinaire, c'est ce que j'ai retenu car cela m'avait un peu intrigué, je le quitte peu après en me disant que ce Mr s'exprimait avec tellement de gentillesse que s'il y en avait davantage comme lui dans le monde les choses iraient bien mieux, impression fugace de télépathie en approbation de ces réflexions pendant que je m'éloignait.
5) 1978 env. je marche avec ma copine du moment dans le centre ville de Toulouse, nous croisons un monsieur qui parait me regarder particulièrement, sensation étrange indéfinissable, une fois croisé je me retourne sur lui et lui aussi, impression fugace de télépathie.
6) 1985 env., Pyrénées, discothèque, 11h du soir, ma copine du moment souhaite que nous allions chez moi...elle se lève, discute avec une de ses copines qui sortait aussi, elles sortent, je fini mon verre, me lève, je remarque un bonhomme jamais vu dans le secteur qui s'avance venant du bar, fait trois ou quatre pas, s'arrête, frappe deux fois dans ses mains et dit, pas fort, "rassemblement". Je m'interroge sur comment il espère se faire entendre avec la musique assez forte, je m'apprête a rejoindre ma copine. Passe a coté de moi, d'un pas rapide et en direction du bonhomme une grande fille d'une beauté extraordinaire qui me lance en passant, pendant 3 secondes, un regard direct qui me laisse "éblouis". Jamais vue auparavant, je me dit que pour ce soir c'est rappé mais que si je la revoie je ferais tout mon possible avec elle. Je me dirige a regrets vers la sortie, un jeune homme jamais vu avant non plus s'approche en souriant alors que je suis sur le point de sortir, la suite est dans le sujet témoignage.
AC- Suite ci-dessous, postée le 3 août 2010:
1985 env.début d’été.
Pyrénées, en discothèque.
J’allais sortir d'une discothèque locale, l'amie qui m'accompagnait m'attendait déjà dehors.
Au moment de quitter l'établissement, un jeune homme d'environ 25 ans,habillé de façon sombre, s'est approché en souriant et m'a demandé si j'habitais ici, lui ai répondu oui et demandé d'où il était. Il me répondit qu'il était berger dans le sud de la France", en Provence, ou Haute Provence. Puis il me dit " J'ai rencontré des extra-terrestres... et tu peux venir avec moi", les derniers mots sous-entendaient : "si tu ne me crois pas viens avec moi !"
Je précise que je n'avais jamais vu cet homme auparavant.
Je lui ai demandé ce qu’il faisait ici, il m’a dit qu’il faisait un tour avant de partir avec eux.
Toutes sortes de pensées traversèrent mon esprit, tout ce que l’on peut imaginer. L’une d’elles était de vendre des photos, en effet, j’étais aussi photographe correspondant d’un journal régional.
Finalement, je lui demandais: "(Et si l'on part) on peut revenir?"
"Non, on ne peut pas revenir", m'a t-il semblé répondre, peut-être dans le sens où je n'aurais plus envie de revenir.
Je pensais alors que j’étais jeune et souhaitais avoir des enfants sur Terre. Qu’allais-je trouver ailleurs? Pensé aussi: ‘’Il est fou celui là’’ immédiatement, j'ai entendu : "non, je ne suis pas fou"
Il m'a semblé entendre sa réponse sans qu'il ne bouge les lèvres.
Je me suis dit : " je me fais les questions et les réponses?"
puis j'ai entendu:
"non, tu ne rêves pas"
Cette fois j’ai bien remarqué qu'il n'avait pas bougé les lèvres, j’ai eu peur le constatant.
Parmi d’autres pensées qui me vinrent, l'une d'entre elles était de crier:
"Venez les copains! Voici un extra-terrestre! On va arroser ça !"
Mais j'ai penché pour un humain télépathe aux intentions probablement douteuses, peut-être capable d’hypnotiser. .
Pressé par mon amie qui m'attendait à la sortie, mais aussi rendu inquiet par le personnage, je décidais de partir.
Je suis rentré chez moi et oublié cette histoire.
J'ai longtemps hésité à faire part de ces autres éléments de la rencontre en discothèque. Ne l'ai pas fait avant parce qu'ils corroborent en partie le témoignage d'un très sulfureux Billy Meier. J'étais partagé dans le dilemme d'informer et celui d'éviter de favoriser son fond de commerce très lucratif. D'autre part il a annoncé tant de cataclysmes, d'horreurs et de misères à venir que j'espère qu'il ne faut en voir que les propos de quelqu'un qui a pété un plomb, n'ayant pas su garder toute sa tête face à des faits que je sais véridiques pour nombre d'entre eux.
Après meilleure connaissance de nos capacités quantiques et l'influence positive que nous aurions sur le cours des évènements, j'en arrive aussi à la conclusion qu'il était peut-être prétentieux de ma part d'espérer dissoudre tout seul de notre ligne de temps l'éventuelle réalisation de ces prédictions horribles, en espérant vivement que les aspects dramatiques de son témoignage relèvent plutôt d'un fort dérangement psychique postérieur à des fait que je sais pertinemment exacts à la base. Si cela devait se passer, je préfère éviter de me reprocher de ne pas en avoir pas informé avant et que cela aurait pu changer le cours des choses.
Le croquis de Semjase que Billy Meier dit Vénusienne correspond exactement à la fille de la discothèque, ce n'est pas le seul, il a vraiment été en contact prolongé avec des E.T. que j'ai aussi rencontrés, brièvement pour ma part. Des descriptions d' E.T. qu'il a faites par écrit correspondent également sans la plus minime erreur, le doute est clairement exclu.
2003, Pyrénées, automne.
Sur le lieu de travail, en fin de journée.
Je travaillais dans un magasin d’appareils photo vidéo, et articles divers.
Ce jour là, le soir, un client m’achète une clé USB, Il garde la tête plutôt baissée, et je me demande s'il me cache quelque chose.
Je pense: "Il vient pour m'acheter ça, ou pour autre chose?"
Il a la quarantaine, bien rasé pour une fin de journée, une peau exempte de boutons, rougeurs, vraiment sans défauts, d'apparence en pleine forme physique.
Je me dis qu'il doit mener une vie saine et doit être fonctionnaire de police ou de douane, comme d’autres clients du magasin.
Il se dirige vers la sortie et je pense alors : "Il y a quelque chose de curieux dans son attitude, par rapport à un client ordinaire".
J'entends alors, comme si on me parlait à 1 cm de l'oreille: " Tu ne crois pas si bien dire!" cela me fait sursauter et je me demande
"Qu'est ce qu'il m'arrive ?"
Mon client sort du magasin et me regarde brêvement depuis l'extérieur, avec un sourire en sous-entendu : "c'est bien moi, tu n'as pas rêvé".
Cela m’a rappelé la rencontre en discothèque vingt ans avant.
16 Septembre 2004, vers 16h30/17h,
Pyrénées, sur mon lieu de travail.
Ce jour là je revenais de la gare où j’avais déposé ma femme et nos enfants.
En arrivant au niveau de la douane, plusieurs voitures roulaient a faible allure, et les ai doublées en profitant d'un parking à cet endroit. Cette manœuvre n’était pas très "régulière", mais il n’y avait pas de douanier a proximité immédiate.
Je suis revenu sur mon lieu de travail, il n’y avait pas de clients et regardais l’animation extérieure.
10 ou 15 minutes après, je vis un groupe de sept ou huit personnes qui venaient vers le magasin, marchant d’un pas décidé, ils avaient une apparence bien mise, genre douaniers ou policiers en civil.
"Ils viennent peut-être pour me porter un PV" me suis-je dit, repensant à ma manœuvre cavalière un quart d’heure avant, devant le poste de douane.
L'un du groupe les précédaient et leur a fait signe d’entrer.
" De la façon dont ils entrent, ils ne viennent pas pour des achats".
Ils sont allés au fond du magasin, je suis resté appuyé à mon comptoir.
Je pensais qu’un PV était des plus malvenu dans mon budget actuel, et pensé que je ne tendrai pas la main pour recevoir une feuille...
Je n’ai pas bougé, espérant que mon collègue de travail s’occuperai d’eux. Mais nous étions en "froid" ce jour là, il regardait vers l'extérieur, les bras croisés, me signifiant ainsi qu’il n’irait pas . Après une trentaine de secondes, je suis allé vers eux.
"Il faut au moins que je leur adresse la parole", me suis-je dit.
Il y avait un monsieur au cheveux grisonnants, de taille moyenne, qui avait les mains appuyées sur le présentoir au fond du magasin, les autres me regardaient de façon aimable.
J’ai alors reconnu le client télépathe de l'année précédente qui m'avait transmit:
" Tu ne crois pas si bien dire", ma première pensée fut: "C'est donc un policier". Aussitôt j’entendis clairement en tête :
" Non, nous ne sommes pas des policiers !"
Ils étaient huit, dont cinq ou six habillés pareil, ce qui m’a fait penser :
" Terrible, voilà la dernière génération de douaniers télépathes !"
Pour vérifier la réalité de nos échanges de pensées, je lui ai demandé mentalement d'aller vers la porte d'entrée et de revenir où il était. Une petite hésitation, et il l'a fait!! J'ai pensé malgré tout: "coïncidence?"
Réponse mentale de celui-ci :
"non, pas une coïncidence"
Constater que toutes mes pensées pouvaient êtres lues m'a laissé mal à l’aise, sans avoir grand chose à me reprocher, mais possibles PV supplémentaires? Je vivais dans les Pyrénées depuis des années, ma voiture était encore immatriculée dans un autre département alors que le délai de régularisation est de six mois. J’imaginais une lourde amende éventuelle.
" Il était d'un gabarit un peu costaud, par la suite je le surnommerai "garde du corps" - "GC"
Il m’a tendu la main,souriant, que j’ai serrée.
GC me demanda, sur un ton de plaisanterie:
"Est-ce que vous auriez une pellicule photo 6x6 gros trou ? "
Je n’avais que du 24x36, lui ai dit non et demandé s’il lui fallait autre chose,
"Non ce sera tout" en terminant par un petit rire.
Le rire était inhabituel.
"Ce rire n'est pas humain" pensais-je.
Mon collègue regardais vers l’extérieur, nous tournant le dos.
GC me répondit en parole, d’un air jovial, "C’est un rire Oummain". Je n'ai pas su quoi penser de sa réponse et ressenti de l’inquiétude.
Je suis allé vers les autres, le monsieur grisonnant, avait toujours les deux mains sur le comptoir, et je vis un porte-document sous sa main droite.
J’ai repensé aux infractions que l’on pouvait me reprocher, et redouté un éventuel cumul de PV.
Je suis passé devant lui sans m’arrêter, en espérant que mon collègue irait les servir,
et regardé l'extérieur en leur tournant le dos.
Mon collège faisait de même, sans m’apporter d’aide. Après 20 ou 30 secondes de cette situation pesante je me suis dit "On ne va pas rester indéfiniment comme ça".
Je reviens vers eux, me demandant qui sont ces gens là et s’ils sont tous télépathes.
Ils se rapprochent tous et l'un d'eux me dit oralement: "nous n'appartenons pas à la Terre,nous venons d'une planète qui s'appelle ‘Ummo’ nous sommes ‘Oummains’ , ‘Ummites’.
Je me suis souvenu d’une émission TV où un scientifique, Mr Petit, parlait d'analyses de conversations téléphoniques prouvant l’existence d’ Ummites.
Je ne comprenais pas pourquoi ils ne s’étaient pas fait connaitre avant. Puis, l'un d'eux m'a dit, " Tu te souviens de moi?"
J’ai reconnu ce monsieur, il était le jeune homme étrange de la discothèque en 1985 (env.)
J’étais paniqué, il m‘a communiqué en pensée des phrases dont je n’ai retenu que le mot confiance qu’il avait répété plusieurs fois. Cela m’a un peu rassuré.
Le monsieur aux cheveux gris blancs me dit "Nous venons en mission sur terre depuis 1950".
Cela a renforcé mes craintes d’apprendre qu’ils se cachaient depuis très longtemps sans nous apporter d’aide.
J’ai pensé en regardant les autres :
"Et vous êtes à l'aise avec toute cette misère autour de vous? Ça ne vous dérange pas ?!"
"On ne peut pas intervenir" m'a répondu GC visiblement embarrassé.
J'ai alors demandé:
" vous venez peut-être pour me sauver, un séisme est a craindre ?"
( j’ai connu trois secousses légères)
GC me répondit: " non, pas de séisme "... puis il hésite... "un bouleversement économique oui".
Les affaires allaient bien en 2004, je suis resté perplexe devant cette réponse.
Cheveux gris blancs reprend alors GC d’un ton autoritaire :
"Tu peux être puni pour avoir dit cela".
Je fus peiné de voir GC humilié.
"Votre chef est un peu dur non ?" ai-je pensé.
Pas de réponse.
J’ai pensé alors en regardant GC, "C'est quoi les punitions chez vous? Dit cela a ton chef ! " GC s'est rapproché de son chef et lui a parlé a voix basse. Je m’interrogeais sur d’éventuelles punitions pouvant me concerner, mes pensées se bousculaient en me sachant lu dans chacune d’elles.
Une bonne minute après, GC m’a regardé sans répondre, et lui ai demandé ce que l’on me voulait.
Un autre m’a répondu oralement:
"On recherche des personnes comme toi"... (plus quelque chose que je n'ai pas compris) et,
"parce que tu es télépathe","nous, nous le sommes tous".
J’ai soupçonné une "collecte d'humains", trois jeunes hommes semblaient un peu en retrait du groupe, pensé a l’hypothèse d'enlèvements plus ou moins consentants, a mes enfants.
Devant mon attitude réservée GC me dit "prend la lettre que mon chef va te remettre, tu te posera des questions après"
J’ai pensé « voilà l'os, voilà le PV ! »
GC me répondit "Mais non! Il n'y a pas d'os!"
GC: "Comment tu nous traites !"
Moi : « Vous n’êtes pas très gentils pour des extra-terrestres », le tutoiement me gênait un peu.
GC: "C'est toi qui n'est pas très gentil, tu verras, quand tu nous connaitra mieux tu regretteras"
A sa réponse, j’ai pensé que nous nous reverrions donc plus tard, me suis rapproché de l'entrée et regardé l'extérieur.
Le groupe est sorti et le chef a dit en passant « Il écrira quand même ». Sous entendu même sans la lettre.
Fin de la rencontre.
Source: http://www.alliance-galactique.net/forum/viewtopic.php?f=3&t=278&sid=e0daca1d334ff636fde3d2a8ca85c98a