Pilote anonyme - G.D. Luxembourg

Témoignages anonymes d'un ancien pilote, qu'il en soit ici remercié pour son aimable autorisation.

Témoignage

Un bref récit de mes rencontres « célestes » durant mes années de pilote de ligne.

• En 1988, lors d’un vol de nuit de Fort-Lauderdale (Floride) à Lugano (Suisse italienne), une lueur verte s’est positionnée sur la droite ne notre avion. Nous étions sur l’Atlantique entre le Labrador (Nord du Canada) et le sud de la pointe sud du Groenland (environ 55° nord et 20° ouest).
  Cette lueur nous a accompagnée pendant environ une dizaine de minutes. Elle n’était pas très violente, mais elle brillait suffisamment pour que mon copilote, assis à ma droite, la voit également. Au moment ou nous commencions a parler de cette « lumière », cette dernière est partie dans une direction opposée à la nôtre à une vitesse incroyablement rapide et a disparu au loin. Aucun avion militaire ou civil n’est capable d’atteindre de telles vitesses. Aussi bien son arrivée que son départ furent fulgurants. Le reste du vol se déroula tout à fait normalement.

• En 1997, lors d’un vol entre Istanbul et Luxembourg, le contrôleur aérien du secteur de Vienne (Autriche) nous demande de quitter notre altitude de croisière et de descendre afin de traverser la zone de contrôle gérée par Frankfort à une altitude donnée. Il était environ 7 heures du matin et le jour était déjà levé. Nous venions de stabiliser notre avion à l’altitude demandée par le contrôleur et nous étions situés entre deux couches de nuages distantes verticalement d’environ 1500 mètres l’une de l’autre. A notre niveau de vol, la visibilité était excellente. Soudain, au loin, je vois un point brillant arriver dans notre direction à une vitesse grand « V ». Ce point grossissait au fur et à mesure qu’il s’approchait de nous. Je commençai d’en voir la couleur et la forme. La brillance de l’objet ainsi que sa grande vitesse était telle, qu’il était difficile d’identifier l’objet mais il me semblât voir une soucoupe avec un aileron vertical sur son dos. Je me tournai vers mes collègues présents dans le cockpit, et ceux-ci me confirmèrent ce que j’avais vu. Je pris le microphone servant au communications radio avec le contrôle au sol et lui demanda quel était cet appareil qui venait de nous croiser à très haute vitesse et à une altitude très proche de la nôtre. Sa réponse fut brève, « je n’ai pas d’avion dans votre secteur en ce moment ».

• En 2007, lors d’un vol de nuit de Narita (Japon) à Los Angeles (USA), nous survolions l’océan Pacifique lorsqu’un phénomène similaire à celui de 1988 ci-dessus se reproduisit.

Le fin mot de l’histoire, est que maintenant je crois à une autre vie lointaine de la nôtre. Les moyens de transports de ces « personnes » sont certainement plus performants que les nôtres.